Lundi 1er décembre, Frédéric
Vent, vent, vent hier, dimanche, alors que nous avancions à l'allure de deux escargots neurasthéniques sur la dernière partie de la route vers Coyhaique. Dans le dos la veille, nous l'avions de face désormais, le yoyo sur le vélo ! La nuit on l'évite, les camps à l'abri de l'air taquin ne sont pas légion, mais on trouve toujours un petit coin paisible. Bien arrimés aux guidons, des pensées qui divaguent avec comme seul objectif la prochaine petite colline, le prochain virage et une longue descente probable. C'est aussi la rencontre avec le cycliste Julien, arrêté au bord de la route, manipulant une toile chahutée par le vent : un Strasbourgeois à chaîne et à voile ! Enfin l'arrivée à Coyhaique et une belle surprise, invités par une famille à vélo et leur trois enfants à partager repas et repos dans leur maisonnette d'un jour. Ils vont vers le sud, on échange nos impressions et les informations utiles. Ce soir c'était crêpes ! Nous reprenons la petite route demain en direction de Manihuales...
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ah les soirées crêpes avec les familles voyageuses... même si elles ne ressemblent que de loin aux galettes bretonnes c'est un grand classique, si simple et si bon! Du jamais vu en revanche pour cette voile arrimée à ces roues... il me faudrait une video pour comprendre comment il se débrouille avec les vents patagoniens!! De notre côté on décore le sapin de Noël ce soir...on va faire deux vélos à accrocher pour que soyez un peu avec nous... Gros bisou
RépondreSupprimerBonjour Lulu, bonjour Fred, merci pour vos posts, c'est genial (çà m'a juste pris un peu de temps pour comprendre comment repondre). Les photos sont supe
RépondreSupprimerraaaaaa, pas sûr d'avoir toit compris à l'ajout de commentaires :-) Enfin, contin
RépondreSupprimercomme cela, bises, Marie Laure et Vincent
SupprimerJ'en reste sans voix! (ça tombe bien, je peux écrire)
RépondreSupprimerVous vous êtes vraiment embarqués dans une aventure extraordinaire. ça n'a pas l'air facile mais vous allez revenir avec des souvenir incroyable. Les photos sont superbes, je suis frustré de ne pas être avec vous!
Gros bisous et bon courage pour la suite!
Profitez de chaque instant
Olivier
Ouuuhhh c'est Magnifique!! Ca donne tellement envie de partir aussi!! Merci pour les photos!
RépondreSupprimerBises de Marco!
De Papitou: 8 décembre. J'avais laisser passer cette page de votre récit. Je vois par les cartes sur Internet que 120 Km à vol d'oiseau vous attendaient jusqu'à Puyuhuapi. Combien par la route et le vent de face ?! Visiblement, votre Strasbourgeois voilé tire des bords ... Encore un peu d'Henri Bosco pour le vent et la dynamite sur la 'carretera austral' : "Les hauteurs retentirent de détonations et soudain toute l'étendue, de la terre au ciel, des monts à la mer, ne fut que vent. " (dans Malicroix).
RépondreSupprimerhello miss et bonjour à ton homme!
RépondreSupprimerj'aime, j'aime et j'aime. tu es mon idole!
gros bisous cricri