04 avril 2015

Tout travail mérite Salar

Vendredi 3 avril 2015, Frédéric

Nous avons enfin découvert cette curiosité salée, une grande page blanche qui s'étend jusqu'à l'horizon. Une journée de bleu et de blanc entre ciel et sel où nous tracerons à l'encre invisible une courbe de 70 km jusqu'à Colchani. Pas de bruit ni de résonance, seulement le craquement des grains sous nos roues, du chlorure de sodium pour clore le Lipez. Une vingtaine de kilomètres et un jour plus tard, voici la ville d'Uyuni : trois jours de repos sans selle, un marché coloré, wagons de fruits et légumes ordonnés et odorants, puis une balade dans ce cimetière de trains tout rouillés... Demain, direction Potosi !

CARTE






10 commentaires:

  1. Je vous quitte à Cafayate et vous retrouve à présent à Uyuni. Que de kilomètres avalés!
    Vous avez certainement avalé les étapes les plus spectaculaires de votre voyage. Plus qu'une aventure, ces paysages ont quelque chose d'initiatique et vous en ont certainement appris beaucoup sur vous-même. Baignez vous dans le silence et la magie de ces lieux.... appréciez la chance que vous avez d'être là.

    Je vous embrasse très fort.

    Denis

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  2. Je vous rassure, même avec le filtre Gougueule, les photos restent splendides !!
    C'est toujours un plaisir d'en découvrir de nouvelles !

    Bises et à très bientôt,

    Fanny

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  3. Coucou !

    J'avais vu un désert de sel en Tunisie mais celui-ci semble encore plus impressionnant. Un paysage tellement inhabituel !
    Merci encore une fois pour les photos et les jeux de mots ^^

    Gros bisous à tous les deux.
    Cindy.

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  4. Hello!
    On vous croirait sur la mer. C'est superbe, surtout ne filtrez pas les photos sans filtre ou meme avec, c'est du bonheur :-)
    Vincent

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  5. Bravo Lucie et Fred, vous nous faites rêver. Le Sappey vous attend quand vous aurez le blues des pentes trop plates !

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  6. Ca roule! avec l'adresse d'Hélène (elle nous pardonnera! ) Claire xxx

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  7. Mince, je suis à nouveau en retard de 3j sur ce votre blog. En plat salé orné d'hexagones, le rythme français s'accélère. De peur de rater ces trains de l'apocalypse tagués de frais ? Tu les as pourtant très bien pris , Frédéric ! Bon repos avant la montée vers Potosi , où l'art et l'enfer des hommes se sont aussi accouplés. Tout ce qu'il faut pour deux cyclo-archanges comme vous.
    Papitoustra-ou-la-la-hola.

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